COMMENT CHOISIR LA BONNE POMPE HYDRAULIQUE

L’utilisation de pompes hydrauliques est directement impliquée dans une multitude de tâches quotidiennes. Il existe d’innombrables occasions où l’on peut avoir besoin d’une pompe, soit pour transporter un liquide d’un point à un point plus élevé, soit pour augmenter la pression de circulation.

De même, de nombreux facteurs doivent être pris en compte pour choisir la pompe la plus adaptée, et de nombreuses options sont disponibles pour apporter des solutions.

Aujourd’hui, nous allons nous concentrer sur les trois principaux paramètres à prendre en compte pour choisir une pompe hydraulique : le type de fluide, sa source et la puissance requise.

Type de fluide pour vous aider à COMMENT CHOISIR LA BONNE POMPE HYDRAULIQUE

  • Un bon dépanneur et plombier Paris 13 se fait une joie de vous aider.
  • Il est important de connaître exactement les caractéristiques du fluide que nous devons pomper, d’une part, pour savoir quelle résistance il offrira à son déplacement et, d’autre part, pour éviter que la pompe ne s’use ou ne subisse des phénomènes corrosifs.

Il est également important de connaître la température. Selon le matériau dont est faite la pompe, elle pourra fonctionner à différentes températures. Par exemple, un corps en plastique peut supporter un maximum de 35-40 ºC, alors qu’un corps en métal peut atteindre 90-110 ºC.

Enfin, il est également nécessaire de considérer si le liquide peut contenir des particules solides qui doivent être évacuées.

En général, les pompes centrifuges sont les plus utilisées pour les liquides à faible viscosité comme l’eau, en raison de leur rendement élevé et de leur faible prix, et parce qu’elles permettent de pomper de grands volumes à un débit constant.

Source de fluide
En ce qui concerne l’origine du fluide, la principale classification à prendre en compte est basée sur la profondeur à laquelle le fluide se trouve et la capacité d’aspiration de la pompe. Il existe donc deux typologies de base : les pompes de surface ou les pompes submersibles.

Le choix entre l’un ou l’autre dépend largement de la hauteur d’aspiration. En général, si elle est supérieure à 7 mètres, il faut opter pour une pompe submersible, car une pompe de surface risque de ne pas être en mesure de remonter le fluide à cette profondeur. Mais il existe d’autres caractéristiques qui les différencient.

Les pompes de surface peuvent être horizontales ou verticales, avoir une ou plusieurs roues et sont normalement utilisées pour les fluides propres, bien qu’elles existent aussi pour l’eau chargée.

Lorsque le circuit ne peut être amorcé de manière autonome, on peut opter pour une pompe auto-amorçante. Dans cette vidéo, nous vous montrons comment en installer un.

Dans le cas des pompes submersibles, elles peuvent être multicellulaires ou non, elles ont un nombre maximum de démarrages recommandés par heure compris entre 10 et 20 et, dans le cas d’une alimentation monophasée, elles nécessitent un condensateur de démarrage.

Dans le cas où nous pouvons utiliser les deux, pensez que ceux de surface sont plus facilement accessibles, mais ils sont aussi plus exposés.

Puissance requise


La puissance requise est le troisième facteur à prendre en compte. Pour la déterminer, nous devrons connaître la pression ou la hauteur manométrique nécessaire et le débit. À première vue, la hauteur de chute et le débit peuvent sembler être deux concepts abstraits, mais il s’agit simplement de savoir quelle quantité d’eau doit être déplacée et quelle hauteur de chute doit être surmontée afin de déterminer la pression nécessaire.

Tête ou pression manométrique
Généralement exprimée en mètres de colonne d’eau (mWC) ou en kg/cm2.

1 Bar = 1,02 kg/cm2.

1 Bar = 10,2 mca.

1 Kg/cm2 = 10 mca.

La hauteur manométrique est calculée en additionnant la hauteur d’aspiration (du niveau du liquide au centre de l’entrée d’aspiration de la pompe) et la hauteur de refoulement (du centre de l’entrée d’aspiration au point le plus élevé de l’élévation), et en ajoutant les pertes de charge (résistance au passage du liquide causée par la friction à l’intérieur des tuyaux et avec les vannes).

“Schéma d’une pompe hydraulique centrifuge”.

Il existe des tableaux et des formules pour des calculs plus précis en fonction de la perte de charge de chaque type de matériau dans le tuyau. Pour des raisons pratiques, 10-15 % de la hauteur de chute géométrique ou 10 mca est généralement considéré comme une valeur fixe.

D’autre part, la pression résiduelle doit également être prise en compte. Il s’agit de la pression supplémentaire nécessaire pour garantir le confort des douches ou des robinets, le fonctionnement d’un système d’irrigation, des chaudières, etc.

A titre d’exemple, si dans une maison unifamiliale à deux étages avec une hauteur géométrique de 6 mètres, le débit estimé pour la maison est de 3 000 l/h, il faudra ajouter 10 mWh de perte de charge et 20 mWh de pression résiduelle, la hauteur manométrique sera donc de 36 mWh et la pression nécessaire sera d’environ 3,6 bars.

Débit
Le débit est le volume de liquide soulevé par la pompe par unité de temps. Vous constaterez que les unités de mesure les plus courantes sont les suivantes :

m3/h= mètres cubes par heure (1 m3/h = 1.000 l/h)

l/m= litres par minute

l/s = litres par seconde

La plupart des fabricants proposent dans leurs fiches techniques des graphiques avec la courbe de débit de leurs produits.

COMMENT CHOISIR LA BONNE POMPE HYDRAULIQUE par votre artisan du coin MOREL !!!